L’industrie de la mode et du textile est la deuxième industrie la plus polluante au monde. La production d’un vêtement a plus d’impact écologique que l’on ne pense. Entre sa fabrication qui gaspille les ressources, et l’utilisation de produits chimiques qui pollue les eaux, l’émission de carbone engendré n’est pas sans conséquence.
Dites non à la surconsommation
Acheter des vêtements est devenue une institution pour beaucoup de personnes. Les prix bas et les nouvelles tendances poussent à la consommation excessive. Les études ont démontré qu’une personne achète plus qu’elle n’en a besoin. Un des plus gros problèmes liés aux industries textiles est la surconsommation qui a pour effet de produire des déchets inutiles. La durée de vie d’un vêtement, surtout dans les marques de premier prix, est très courte. On s’en sert, on s’en lasse et on en rachète un autre à tel point de devenir un cercle infernal.
Au-delà de l’aspect industriel, il y a également un côté humanitaire. Les grandes entreprises textiles surexploitent ses employés pour produire plus en économisant beaucoup. Un vide dressing éco-responsable limite les impacts négatifs sur l’environnement et permet de ne pas contribuer à ce genre d’esclavage moderne.
En quoi la revente et le troc donnent-ils un impact positif sur l’environnement ?
Acheter un vêtement d’occasion aide à limiter tous les mauvais côtés de sa production sur l’environnement. Un simple t-shirt nécessite plus de 2 000 litres d’eau pour sa fabrication. Et ne parlons même pas de la culture du coton, la matière première la plus courante, qui est une des plus polluantes à l’échelle mondiale. Ainsi, ne pas acheter un vêtement neuf permet une économie des ressources utilisées.
Un vêtement continue à produire des substances toxiques après sa confection, au lieu de jeter directement, donnez-lui une seconde vie. Au moins, cela limitera les déchets puisque seul 1 % des textiles est recyclé. Un vide dressing permet aussi de ne garder que l’essentiel dans sa garde-robe tout en se faisant une petite cagnotte. Le troc quant à lui, permet d’avoir de nouvelles pièces dans son dressing en économisant tout en faisant un geste pour l’environnement. Il limite ainsi le gaspillage. En pratiquant ces méthodes, votre consommation sera plus durable et plus responsable.
Que faire en plus ?
Vendre et troquer ses vêtements ne suffisent pas pour limiter les mauvais côtés de la surconsommation. Désormais, achetez vos vêtements uniquement de seconde main ou en friperie. Toutefois, des marques éco-responsables avec une éthique existent sur le marché du textile.